Nul ne peut l'affirmer.

02/10/2012 13:47 par le-pelleteur-de-nuages

  • Nul ne peut l'affirmer.

    Nul ne peut l'affirmer.

    02/10/2012 13:47 par le-pelleteur-de-nuages

Par-delà le fait que l’on s’accorde à dire que la vie qui fut aquatique en premier sur la terre est probablement le fruit de bactéries contenues dans des météorites de glace. Nul ne peut actuellement affirmer si certaines civilisations ne sont pas issues d’autres venues de l’espace. Les archéologues ont découvert, notamment en Egypte et au Mexique,  des messages pour le moins troublants. Et puis la science, bien que s’acceptant aujourd’hui en profonde mutation recherche toujours le « maillon » qui permit qu’un groupe d’hominidés s’est vu obtenir une faculté décisive à son évolution : la cognition.

À Charleville-Mézières, ma ville natale, nous savons qu’Arthur Rimbaud, tout comme Victor Hugo, ou encore Emile Nelligan ont pratiqué le spiritisme avec succès car faisant appel  à leur sensibilité innée.

Depuis toujours, ce sont les émotions qui ont le plus inspiré les artistes. Le fait qu’ils émettent des messages par l’écrit, la voix, le dessin, la sculpture etc. est la preuve que la méditation ouvre des portes insoupçonnées.  Alors, quelles que soient nos ambitions, que nous le voulions ou non, nous jouons un rôle dans l’évolution cosmique.

Philosophie simplifée

01/10/2012 18:40 par le-pelleteur-de-nuages

  • Philosophie simplifée

    Philosophie simplifée

    01/10/2012 18:40 par le-pelleteur-de-nuages

Qu’elle soit poétique ou prosaïque pour être simplement populaire, toute question suffisamment intrinsèque peut nous entrainer vers un débat de philosophie humaniste.

Ainsi, tant que nous ne saurons pas voir les choses qui sont autour de nous, autrement que par l’image réfractée que nous délivre notre cerveau, nous resterons aveugles de tout ce qui reste inexpliqué. La recherche qui se fait des astrophysiciens est encore balbutiante malgré sa complexité. Pourtant là aussi, il faudrait voir plus vite que la lumière pour constater le cosmos au présent.

Je crois pouvoir penser à mon âge, que tout poète qui se veut résolument moderne, comme l’était Arthur Rimbaud en son temps doit consacrer une partie de son art à celui visionnaire.

Faire du positivisme en milieu naturel est certes incontournable. Pourtant, si le prolongement de ce plaisir peut se contenter de la sorte, nous devons reconnaitre, puisque cela nous arrive à toutes et à tous, que des questionnements existentiels viennent souvent troubler nos méditations jusque dans ce cadre.

Dans cette rubrique, j’aimerais donc que s’installe une sorte de débat : il suffirait que vous commentiez mes pensées écrites… Et je vous répondrais selon mon intime conviction. Bien cordialement de Robert.

La vie ailleurs?

30/09/2012 20:05 par le-pelleteur-de-nuages

  • La vie ailleurs?

    La vie ailleurs?

    30/09/2012 20:05 par le-pelleteur-de-nuages

Nous ne sommes peut-être qu'un élément d'une partie matérielle animée qui serait utile à donner corps à cette énergie que je sais manipuler pour soigner les animaux. D'autre part, le cosmos est si vaste avec ses milliards de galaxies qu'il est impensable qu'un autre type de vie intelligente ne se soit pas développé ailleurs que sur notre planète.

Pensée philosophique: viellir...

30/09/2012 10:05 par le-pelleteur-de-nuages

  • Pensée philosophique: viellir...

    Pensée philosophique: viellir...

    30/09/2012 10:05 par le-pelleteur-de-nuages

Hormis le fait de parvenir à développer certaines qualités qui ne s’acquièrent qu’avec le temps et l’expérience, —vieillir—, c’est aussi devenir obsolète aux yeux de beaucoup. J’entends souvent des jeunes  gens me rabâcher que les temps d’hier ont changé… Certes, les technologies se développent aujourd’hui beaucoup plus rapidement que notre conscience et notre cerveau, mais est-ce une raison suffisamment pertinente pour tout rejeter des valeurs civiques anciennes issues de la sagesse psychologique ? Vieillir, c’est aussi se démoder. Pour beaucoup, c’est appartenir au passé, dater, être passé de mode et finir par s’empoussiérer, jusqu’à tomber en désuétude. Croyez-moi : car c’est un vieux qui l’écrit, mais vous qui lisez ces lignes honnêtes, qu’en pensez- vous ? !

Présence incontournable

28/09/2012 17:49 par le-pelleteur-de-nuages

  • Présence incontournable

    Présence incontournable

    28/09/2012 17:49 par le-pelleteur-de-nuages

Philosophons un peu !

 

Si ce qui nous différencie peut-être de l'animal dont nous sommes issus est sans dout la notion de pensée organisée par un langage complexe -celui-ci permettant d’exprimer que l'on existe (à condition d’adhérer au fameux "Je pense donc je suis" de Descartes)-  Il n’en est pas moins admissible que la conscience de soi existe aussi chez l’animal qui, bien que ne disposant pas de nos moyens d’expression, se montre pour le moins capable de nous surprendre sur bien des terrains.

Sur cette photo (de gauche à droite) Gabin, Anatole, bélia, Noisette.

Ô soleil!

26/09/2012 16:45 par le-pelleteur-de-nuages

  • Ô soleil!

    Ô soleil!

    26/09/2012 16:45 par le-pelleteur-de-nuages

Voici un tournesol de 2m87 pour 43 cm de diametre! Le tuteur ne suffisant plus, je l'ai lié à la descente d'eau. Si avec ça, dans mon jardin l'on n'a pas chaud au coeur à regarder pousser les fleurs!...

Soleil, ô soleil!

26/09/2012 16:34 par le-pelleteur-de-nuages

  • Soleil, ô soleil!

    Soleil, ô soleil!

    26/09/2012 16:34 par le-pelleteur-de-nuages

Côté "âme en fleurs" voici un soleil qui fait plus de 43cm de diamètre pour 2m78 de hauteur. Si avec ça  vous n'avez pas chaud au coeur!...

Dans mon jardin, tout part d'un sentiment Bohême, car naturel, n'y a donc pas de trucage de perspective, ce tournesol est directement attaché à la descente d'eau de la véranda, le tuteur d'origine ne suffisant pas à en supporter le poids.
 

LE PELLETEUR DE NUAGES.

22/09/2012 18:06 par le-pelleteur-de-nuages

  • LE PELLETEUR DE NUAGES.

    LE PELLETEUR DE NUAGES.

    22/09/2012 18:06 par le-pelleteur-de-nuages

        Se faufilant sous les haillons épars qui déshabillaient quelques nues se montrant hésitantes à se laisser poinçonner encore, quelques rais projecteurs, s’insinuaient telles des langues de vipères qui renifleraient le ciel depuis la terre poue aller démontrer au-delà de ça et de là, cette monstruosité monumentale émanant d’hommes plus que jamais prédateurs d’eux-mêmes.

        En bons techniciens porte-flingues, certains allaient même jusqu'à éclairer de morbide les visages exsangues des millions de soldats tombés au champ d’impudeur à servir les ambitions de quelques fous furieux commandeurs. Pauvres  spectres frères, faits de  chairs à canon désormais en décomposition, cadavres tristement allongés dans la fange des «  Dormeurs du Val ». Impuissances occultes semées parmi les « glaïeuls pourpres » que constituaient leurs propres restes déchiquetés et sordides

 

            Pourtant, si le grand disque d'argent participait à sa manière à la propagation d’ondes aussi néfastes que des rejets excrémentiels qui seraient issus du ventre-pourri de notre planète tellurique, c’était en renvoyant sur elle et ses légions de satanés humains, le reflet plasmique d’une étoile en ayant vu d’autres, et qui via le sol poussiéreux de l’astre froid, maquillait plus gracieusement la beauté sélène qu’il ne réussissait à l’aide de ce peu d'énergie diffuse, à ranimer la flamme humaine des quelques errants censés représenter ce qu’il restait des êtres pensants. Survivance improbable, car confondus qu’ils étaient avec l'ombre qui se terrait comme eux dans les profondeurs occultes de Gaïa.

Extrait 1

22/09/2012 17:57 par le-pelleteur-de-nuages

  • Extrait 1

    Extrait 1

    22/09/2012 17:57 par le-pelleteur-de-nuages

LE PELLETEUR DE NUAGES.

(1er Tome)

 

 

Introduction

 

L’image intemporelle semblait s’être directement incarnée depuis la glaise. C'était un peu comme si cela avait surgi de la poussière cosmogonique qui serait mouillée par les eaux de sa propre matrice.  

 

 

               La formation des corps célestes l’attestant, une ombre chaudement déshabillée s’accouplait à de la Lumière froidement entichée cependant qu’un troubadour des mots dansait avec eux sur la terre, muni de son seul adage pour tutu. Ne manquant certes pas d’originalité, l’homme était perçu de ses amis tel un loup noble qui probablement serait issu d’une lignée d’humains versificateurs au tempérament bien trempé. Pourtant, -hors de ce contexte particulier- notre ami passait aussi pour être un trublion râleur quelque peu déjanté, rêveur, croyant à des vertus dépassées, car assidu à participer malgré-lui à de chastes compagnonnages imaginaires jugés libertins par d’autres qui s’y aveuglaient, mais dont il savait voir dans ce scintillement la virginité des belles histoires affichées sur la tranche dorée des précieuses pages du grand livre de la vie. Cela avant même qu’elles ne s’effeuillent sous nos doigts, telles des vierges impudiques que l’on déshabille du regard.

 

              Comme s’apercevant jusque dans ses ailleurs, notre parangon de probité saura donc se montrer sous nos yeux lecteurs de chapitres imprimés, être entièrement conscient de sa pleine conscience. Généreusement méditatif en contemplatif. Extatique en idéaliste périmé. Rêvasseur-rêveur en songe-creux…, quoique certainement utopiste, mais se posant le plus souvent en possible visionnaire.

La jeune femme aux fleurs

22/09/2012 17:46 par le-pelleteur-de-nuages

  • La jeune femme aux fleurs

    La jeune femme aux fleurs

    22/09/2012 17:46 par le-pelleteur-de-nuages

Voici la Dame insupportablement sensuelle.

Étoile d’âme anéantissement éternel.

Soleil et terre par des amours qui sont unis:

Nous offrent un doux bouquet de sentiments infinis.

Et mue par cette abondance exquisément sucrée,

Ma toile en vibrance s’est féminine parfumée.

D’un beau visage sous la douce capeline:

Nez en l’air, tu triomphes ô essence divine.

L’or mon regard se perd, il se noie, épris confus.

Ma passion se fait joie par chakras d’esprits repus.

Sous le charme voilé de ton sein parmi des roses,

J’écris sous le seing généreux, du maître des choses.

Délicate beauté, ces pétales pour un temps,

Te font si fraîche et belle, à l’aurore des printemps !

Fol d’amour je me perds en amoureux jusqu'à pleurs:

À la folie te sublime… Ô femme aux fleurs!

 

Robert-Henri D.