À propos de ma perception extra-sensorielle.
28/12/2012 17:48 par le-pelleteur-de-nuages
Toute personne qui conçoit des idées personnelles et originales, sait que la perception extrasensorielle relève moins du « pouvoir occulte » que d’une perspicacité mentale apte à produire et analyser ce qu’un système de récepteurs (ou cellules sensitives) est capable de capter et de traduire (soit plusieurs formes d'énergies) en les transmettant au système nerveux central sous forme d'influx nerveux. Ces influx nerveux (proprement dits sensations) étant alors interprétés par l'encéphale (ou son équivalent chez les espèces qui en sont dépourvues) puis codés sous forme de potentiels d'actions. Ceci avant que l'information soit transmise à des régions spécialisées du cerveau qui les analyse en fonction de certains facteurs de connaissance. D’où l’intérêt d'obtenir un maximum d’informations au cours de nos divers états de conscience.
Ainsi, pour admettre le concept du continuum spatio-temporel, tel que notamment visité par les personnages d’un roman semi-autobiographique en trois volumes dont je suis l’auteur, il faut considérer que ledit espace pourrait bénéficier d’une dimension spatiale supérieure à toutes celles que nous connaissons. Cela permettant notamment l’acceptation d’un monde à quatre dimensions qui existerait au sein du nôtre… D’où la possibilité que nous soyons leurrés par ce que nous croyons voir, autant à l’échelle planétaire que celle cosmique.
Vous le savez autant que moi, l'intelligente humaine n’est pas seulement tributaire d’une perception limitée à cinq sens (goût, odorat, audition, vision et toucher). Il est aujourd’hui admis que la perception sensorielle des animaux est en fait plus vaste. Ainsi, pour les mammifères, dont l'homme, on peut ajouter le sens de l'équilibre perçu au moyen des trois canaux semi-circulaires de l'oreille interne, ou encore, le sens de la proprioception qui nous signale en aveugle, la position relative des parties constituantes de notre corps. Ces sens et d'autres que la science semble ignorer faute de disposer de preuves tangibles, ne rentrent pas dans les cinq qui sont couramment connus.
Nos ancêtres migrateurs du paléolithique étaient probablement capables de percevoir les lignes de champs magnétiques terrestres, ainsi que certaines vibrations qui échappent à l’homme moderne qui n’a pas été initié pour les percevoir. Une certitude existe : Il n'y a pas d'accord véritable des neurophysiologistes sur le nombre exact de sens chez l'humain et les autres animaux. Ceci me permet donc de penser que La multiplicité des rapports entre le monde sensible et le monde intelligible laisse augurer des difficultés rencontrées dans la recherche d'une définition précise.
Une discipline controversée [la métapsychique] a proposé à différentes époques, que nous disposerions d’un sixième sens, lequel permettant la communication entre l'être vivant et d'autres êtres vivants ou inertes, sans qu’en soient connus les voies et les mécanismes médiateurs qui sont à la source de ces phénomènes. Je pense personnellement que seul le raisonnement qui s’obtient de source innée peut apporter ce résultat. Autrement dit, l’altruisme de l’âme (à condition de croire comme moi en ce principe spirituel) permettrait au moins pour partie d’aboutir à un raisonnement logique. Ainsi, en supposant que celle-ci serait issue de l’hyperespace, nous pourrions admettre que Dieu existe, puisque représenté par cette entité éternelle, qui non seulement aurait permis d’agir sur la matière présente autour de nous jusqu’à la rendre vivante et intelligente, mais tend à faire accepter que grâce à cela, nous pourrions aussi apprendre ou réapprendre à « voir » dans la quatrième dimension, et même peut-être y voyager comme je le conçois de mes personnages.
Aujourd’hui, nous disposons encore de plusieurs paliers de conscience. Ils vont de l’égocentrisme superficiel à l’empathie radicale. Alors, sachant que sur la terre il est encore possible de nourrir tout le monde, et partant du principe que nous naissons tous avec le sens de l'observation, ceci devrait au moins nous permettre de vivre et partager dans le respect d’autrui, en autodidacte, car s’apprenant à force d’observation. Malheureusement, c’est sans compter avec les manipulations démagogiques d’une pluralité sociale qui tend à se singulariser par sa propension à auto mécaniser sa propre conscience jusqu’à la rendre inhumaine. Cela entrainant à perdre le sens de l’altruisme en même temps que celui de l’anagogie.
RHD
A quelques jours du 21 décembre 2012, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a décidé lui aussi de tordre le coup aux rumeurs de fin du monde. Pour cela, il vient tout juste de dévoiler une vidéo qui revient sur l'origine même des rumeurs, le peuple maya et son fameux calendrier. Appuyé par l'archéologue Jean-Michel Hoppan, le message est simple : les Mayas n'ont jamais prophétisé la fin du monde pour le 21 décembre 2012, loin de là même.
Pour l'expliquer, la vidéo s'ouvre ainsi sur l'histoire des Mayas et leur goût pour la divination. "La divination est un aspect important de la culture maya qui transparait même dans l'usage qu'ils ont fait de l'astronomie, dans la mesure où on peut considérer qu'ils étaient plus des astrologues que des astronomes. L'astronomie était au service de la divination. Ce qui les intéressait de comprendre dans le mouvement apparent des planètes était leur répercussion supposée sur la vie des hommes", explique le spécialiste de l'écriture maya.
Un calendrier complexe en plusieurs cycles
En effet, au cours du siècle dernier, bon nombre de témoignages laissés par les Mayas ont été découverts au Mexique, notamment des stèles racontant les histoires des élites dirigeantes de la société. Ceci a permis d'en savoir plus sur les pratiques et les traditions de ce peuple mais aussi de comprendre leur complexe calendrier. Comme l'explique la vidéo, pour établir leur calendrier, les Mayas combinaient en fait deux cycles principaux : un premier baptisé Tzolkin qui comprend 260 noms de jours différents et un second, plus proche du cycle solaire appelé Haab et composé de 365 jours.
Une date est ainsi l'association des deux cycles, de sorte qu'un même nom de jour ne peut revenir que tous les 52 ans. Pour différencier les dates avec le même nom, les Mayas ont mis en place un autre système qui permet de la situer par rapport à l'origine du cycle, une période qui compte 1.872.000 jours, soit 5.000 ans. Il existe donc un jour "zéro" dans la chronologie maya appelé "4 Ahau 8 Cumku". Mais là apparait la principale difficulté : au vu de la complexité du calendrier maya, comme le faire correspondre au calendrier chrétien ?
La tâche est compliquée mais des spécialistes ont réussi à mettre au point un système de corrélation. Le principal est appelé Goodman-Martinez-Thompson du nom de ses auteurs et indique que le jour zéro correspond au 11 août 3113 avant JC (ou 3114 si l'on considère qu'il n'y a pas d'an zéro). La fin du cycle, elle, est ainsi placée pour le "4 Ahau 3 Kankin". C'est cette date que certains spécialistes font correspondre au 21 décembre 2012, avec tous les fantasmes qu'elle suscite. Reste que d'autres spécialistes utilisant un système différent décalent cette date à 208 ans plus tard, soit pas avant 2220.
La fin d'un cycle oui, mais pas la fin du monde
Quant à la prophétie associée à ce jour, comme l'ont déjà expliqué de nombreux chercheurs, les Mayas n'ont jamais évoqué de fin du monde mais simplement la fin d'un cycle. Un message confirmé par Jean-Michel Hoppan qui lit les glyphes laissés par les Mayas et les interprète pour la vidéo : "L’allusion à la fin du grand cycle n’est pas présentée comme étant, contrairement à ce qu'on en dit beaucoup, un cataclysme, une destruction du monde, mais mentionne le retour d’une divinité qui remet le temps en marche. Donc on a plutôt, en fait, un message de reconstruction, que de destruction".
"Le 21 décembre 2012 sera le solstice d’hiver, et on va tous préparer Noël certainement. Enfin j’espère…", commente encore le spécialiste qui n'hésite pas d'ailleurs à souligner quelques incongruités et amalgames dans les rumeurs de fin du monde soi-disant prédite par les Mayas. En effet, lorsque l'on cherche "21 décembre 2012 calendrier maya" sur internet, les principales images qui viennent sont celles de la pierre du Soleil qui se trouve au musée d’anthropologie de Mexico "et qui est en fait un calendrier aztèque qui ne mentionne absolument pas la date à laquelle on fait correspondre le 21 décembre 2012". De quoi finir de tordre le coup aux rumeurs et rassurer tous les inquiets...
Bonjour,
Voici la copie d’un commentaire qui a été déposé par precisdelittérature dans mon topic Grégory LEMARCHAL, suite à mon propre commentaire :
A mon humble avis, ce regard, cette interrogation et vos ressentis, émotions, lorsque vous êtes près du la sépulture, peuvent être l'appréhension d'énergies d'âmes errantes retenues par la douleur des vivants, et autres attaches terrestres, égrégores, (je pense en particulier à G. Lemarchal). C'est l'une des hypothèses. Lorsque la personne meurt brutalement, de mort violente, son âme est éjectée brutalement du corps avec son double éthérique qui ressemble parfaitement au corps physique. Lorsque une personne meurt dans son sommeil, d'une pathologie (ici le cas de la mucoviscidose) où elle ne se voit pas mourir, donc ne sait pas qu'elle est morte puisqu'elle est bien vivante et voit son corps. Il semble qu'elle puisse demeurer "comme en attente de..." avant de parvenir ou d'évoluer vers la Lumière. D'où l'importance des prières, miséricorde, pardon, paix intérieure/recueillement profond, ré harmonisation de l'aura, pensées élevées des vivants aux abords d'un cimetière, près des dépouilles (dépouillées du souffle Divin, de vie). Sans trop polémiquer (risque d'erreur) dans un syncrétisme, l'esprit humain entre en résonance, fréquences, (séquences vibratoires) avec l'apparent et le caché dès qu'il entre en dialogue harmonieux avec l'Entité, l'Un. La Parole de Vie, Jésus, perception d'un symbole puissant, une transcendance entre la dimension de la matérialité et celle de la Lumière (d'ailleurs il a évoqué un corps de gloire). Libérer une âme c'est probablement per mettre un apaisement du cœur et de l'esprit des vivants et accepter d' "éclairer une voie paisible d'espoir et d'espérance, de concorde avec la famille humaine". L’oint (Christ) est une rencontre de la Lumière avec son opposé. Je pense que vous discernerez je ne puis entrer dans une sémantique etc., c'est un sujet passionnant, il y a beaucoup à exprimer. "L'iman", la foi ou la sérénité (l'équilibre intérieur) apporte une connaissance de soi-même, une réconciliation avec soi, une abolition des peurs, préjugés etc. Gabriel, Archange Jibril, ou puissance du Souffle divin ; il régit l'intuition/clairvoyance, guidance intérieure, il favorise la mission d'une âme, etc. Quelle belle énergie spiritualité et message que ces êtres de lumière.
Si j’ai mis son point de vue en exergue, c’est pour la bonne raison qu’il corrobore, non seulement ce que hurle tout bas la foule de mes pensées à propos du concept de déité que je développe dans les deux premiers volumes de mon roman « Le Pelleteur de nuages » par un langage poétique que j’entends poursuivre dans le livre trois, dont le tapuscrit est en cours d’écriture, mais aussi pour vous dire qu’il me conforte dans l’espoir que cette extrême sensibilité qui depuis ma naissance, me fait percevoir ces êtres de lumière, peut s’expliquer au moins par l’évolution actuelle de la parapsychologique .
Ainsi, je vous invite à commenter… ce commentaire.
Bien amicalement de Robert.
P.-S. Sur cette photographie que j'ai prise depuis le bord de la route ou commence ce petit chemin qui conduit au petit cimetière de Sonaz, (il en existe deux en sus de l'entrée principale) vous pouvez distinguer ma charmante épouse (dix ans de moins que moi) qui est à l'origine de la répétition de nos modestes pellerinages.
Quoi de plus normal pour un « Pelleteur de nuages » que de s’intéresser à la grande tache rouge de Jupiter, un cyclone grand comme deux fois notre planète et qui se déchaîne depuis plusieurs siècles. Cette image qui accompagne mon billet, est une version numériquement améliorée d’une photo prise en 1979 par la sonde Voyager 1 (Crédit photo : Nasa) Cela pour vous dire que dans mon roman, cet objet qui aurait pu devenir un soleil retrouve tout l'intérêt mythologique qu'il suscita autrefois. En effet, il fut écrit que Jovis était le dieu romain qui gouvernait la terre et le ciel, ainsi que tous les êtres vivants s'y trouvant. Il figurait aussi le père des dieux. Je lui ai donné pour Fils : Gabryel, un dieu de lumière chargé de veiller sur l’humanité… Jupiter, que j’ai renommé Junyather aurait eu pour attributs l'aigle et « le foudre » (nom qui est du genre masculin dans ce cas). Il est assimilé à Zeus chez les Grecs et à Dyaus Pitar — parfois Shiva — chez les Hindous.
J'ai pris cette photo accompagné de ma femme, lors du troisième de mos pellerinages au petit cimetière de Sonaz.
Grégory Lemarchal à zébré nos mémoires du trait lumineux des étoiles filantes… Fin janvier 207, il considérait que la transplantation pulmonaire pouvait s’admettre. L’état de ses poumons était alors très préoccupant. Le mois suivant il fait une pause. Il en profite pour enregistrer son second album. Il décide de chanter en duo avec Hélène Ségara pour « vivo perle », mais son état se dégrade encore, il est hospitalisé d’urgence à l’hôpital Foch (Suresnes) dans l’attente de cette greffe qu’il espérait mais qui ne sera pas. Il est placé en comas artificiel, le soir du dimanche 29 avril. Il décède le lendemain suite à des complications liées à la mucoviscidose.
Où es-tu doux poète, où es-tu?
L’horizon flamboyant m’est écrin.
Que vois-tu dans ton ciel, que vois-tu?
Laube fleur qui dilue des chagrins.
Bien au-delà de l’amer …
Bien au-delà de la terre …
Qui connait, bien ses jours et ses âges,
Ne s’y perd sans gagner d’avantage.
La folie fait partie d’un voyage,
En détour de nos livres d’images :
C’est marque page en nos mirages.
Bien au-delà gît l’histoire …
Bien au-delà accessoire …
Que crois-tu doux poète, qui crois-tu?
L’esprit donne confiance en demain.
Où est « il » selon toi, où vit « il? »
Nos consciences lui donnent la main.
Bien au-delà le destin …
Bien au-delà ne s’éteint …
Même la fin ne saurait décevoir,
À meurtrir sans le pourtant vouloir.
Quand ta vie s’enfuira dans le vent,
Que ton corps s’enfouira au néant :
Ton esprit restera lien vibrant.
Bien au-delà des serments …
Bien au-delà des vivants ...
Où vas-tu doux poète, où vas-tu?
Je m’en vais mais je suis prés de toi.
Que veux-tu doux poète que veux-tu?
Te donner, du bonheur et la foi.
Bien au-delà de l’étrange …
Bien au-delà des louanges …
Quand sourit le bonheur qui dérange,
Il porte le sentiment d’un ange.
Le génie, a le cœur d’un Archange,
Sa lumière enfante la louange,
Des émois quand chante la mésange.
Bien au-delà de l’échange …
Bien au-delà l’eau du Gange …
Qui es-tu doux poète, qui es-tu?
En mon nom, la lumière fait tes jours.
M’aimes-tu doux poète, m’aimes-tu?
Je t’adore, car mon nom est Amour !
Bien au-delà des toujours …
Bien au-delà du glamour …
Robert Henri D.
Tout peut prêter des outils. Il importe avant tout d'opter pour le faire-savoir qui correspond le mieux à l'expression de son identité... Le savoir-faire s'apprenant en second du premier.
Je me suis essayé au dessin, au modelage, à la peinture, au chant, au théâtre, à la pratique instrumentale, à la photographie, et que sais-je encore… la liste ne saurait être exhaustive puisque tout m’intéresse.
En fait, nous sommes tous des apprentis-découvreurs si l’on se réfère à l’autodidaxie permanente qui se substitue généralement à des études écourtées par la nécessité de ramener très tôt le salaire qui aide au sein des familles pauvres (j’ai touché mon premier salaire à l’aube de mes 16 ans).
Il résulte de cela un sentiment éclectique d’écriture atypique, car nullement universitaire, qui peut rebuter des puristes qui accepteraient lire de moi quelques lignes. Cependant, il me semble que chacune et chacun qui trouve du plaisir à écrire doivent s’attacher à préserver leur propre style.
Bien abritées dans ma modeste véranda, ces plantes peuvent rivaliser avec les bonzaïs
Des ressentiments tels la rancune, la haine et la méchanceté sont impropres aux idées démocratiques. Nos réactions émotionnelles difficilement contrôlables ne devraient pas nous entrainer à sombrer dans les abysses du yin… Notre nature machiavélique est un handicap que développe trop de technicité. Certes les siècles passés témoignent de la même cruauté qu’aujourd’hui. Cependant, je pense que nous devrions (enfin ?) en tirer des leçons et ramener l’éducation nationale à ses fonctions premières. À savoir : ne plus chercher à former des élites à tout prix (dans tous les sens du terme…). Obliger les ados à poursuivre des études qu’ils refusent est un non-sens qui coute cher à la nation. Quant à la course au PIB, la robotique, le rendement : cela ne sert que le capitalisme. Trouver son équilibre dans un travail collectif comme cela s’obtenait sans horloge-pointeuse au moyen-âge (période qui se vulgarise à tort) serait mieux que faire le double profit d’un système social politisé auquel s’ajoute les malversations clandestines.
Une clarté encore incertaine nimbait la brume d’une auréole argentée. Assis dans son lit l’homme revivait sa naissance avec une douloureuse intensité. Difficile passage qui conduit comme le couloir de la mort, de l’intérieur d’un monde connu vers un autre où la froideur, s’ajoute à la souffrance d’un premier souffle pouvant-être déjà le dernier qui se produit devant un éclaboussement agressif de lumière brutale. Dans un cas, elle se fait apaisante et sereine mais dans l’autre fatale... Lucien s’arracha de limbes où séjournaient des enfants morts avant d’avoir été baptisés par l’église de ses ancêtres, puis il repoussa les draps en même temps que le rideau de scène qu’il avait ouvert sur son rêve prémonitoire. L’être qui l’avait contacté mentalement le guidait dans un ventre souterrain. Une pellicule terreuse qui en couvrait le sol ne parvenait pas à enterrer les esquilles d’ossements laissés par ses aïeux et qui perforaient la peau fragile de ses pieds nus. Loin devant, l’informe guide pointa un doigt qui faisait songer à une protubérance de chair crevassée dont la couleur verdâtre estompait l’idée que ce fut autrefois l’index d’une main humaine. Écœuré, Lucien distingua un quadrilatère rougeâtre affiché vertical tout au bout du tunnel. Son esprit le quittant se propulsa vers la porte de fer qui lui était ainsi désignée…
Il semble juste de penser que seule la, ou les entités, différentes par le fait qu’elles se présentent nimbée ou non, et auxquelles vous croyez ou non vous-même, ont peut-être conscience de l’histoire que leurs rêves ou leurs visions leur ont inspirée, et connaitraient donc une autre porte située à l’opposé des entrailles terriennes ; passage que Lucien avait perçu il y a très longtemps , alors qu’il se trouvait éveillé, mais en situation de conscience élargie…
Des passages existent qui permettent de s’évader du monde réel par le truchement d'une image psychédélique (ou flash) qui n’est pas forcément obtenue par l’usage d’une drogue hallucinogène. Cette notion qui n’a rien de virtuel bien qu’étant de celles qui aident aux perceptions des visionnaires, fait sacre d'idées qui transitent grâce à leurs dons certes fantastiques, mais improuvables matériellement parlant.